Médiation Catherine Dumas

FAQ

Logo Médiation France Allemagne

Le cadre de la médiation est très large. C’est un processus approprié aux problématiques relationnelles dans le cadre de la famille, du travail, en matière successorale comme lors de conflits de voisinage, entre autres. 

 

Ma priorité en tant que médiateur est de créer un environnement ouvert et sûr pour les parties afin qu’elles puissent communiquer leurs intérêts et leurs préoccupations. Je vais encourager les parties à explorer des solutions créatives qui peuvent satisfaire leurs intérêts et leurs besoins. Je vais également les encourager à se concentrer sur les intérêts à long terme.

Voici la définition du conflit social selon Friedrich Glasl : c’est une interaction (communication ou action) entre acteurs (individus, groupes organisations etc.), où au moins un acteur est en situation de désaccord avec un autre acteur. Ainsi dès lorsqu’une personne a un problème avec vous, vous en avez un !! le reconnaître est un principe de respect et de reconnaissance de l’autre.

Tout d’abord soyons positifs : Au mieux, les différences de point de vue, le différend, le confit a pu être apaisé laissant à la nouvelle relation la possibilité de se mettre en place, éventuellement avec quelques aménagements. Au pire, vous continuerez à avoir du mal à travailler sereinement ensemble mais vous serez au clair et du coup en capacité d’agir plutôt que de vous détruire.

 

Oui, c’est possible à tout moment. A l’issue d’un premier contact. Après l’entretien individuel. Pendant une réunion commune.

Même si nous avons signé une convention d’entrée en médiation. En effet, le processus est volontaire. Ainsi, s’il n’y a plus de volonté, le processus n’a plus de sens et s’arrête.

Le.s participant.s ainsi que le médiateur peuvent arrêter la médiation à tout moment.

 

Oui, cela est possible avec l’accord de l’autre partie.

Le rôle de l’avocat sera clarifié au début de la réunion.

Tout est possible dans la mesure où les protagonistes sont d’accord.

Dans une médiation familiale, à titre d’exemple, les grands-parents pourraient être invités à participer.

La méthode (qui, quand, où) sera proposée par le médiateur en fonction des entretiens individuels qui auront pu être menés.

Le champ du médiateur c’est d’assainir, d’apaiser les relations envenimées. Il va permettre de retrouver une qualité relationnelle qui permettra aux personnes d’appréhender ses situations techniquement pointues plus sereinement.
Si la situation le nécessite, le médiateur peut demander l’intervention d’un expert si les parties le souhaitent et si cela semble décisif pour pouvoir continuer la médiation. 

Nous pouvons être sûrs de plusieurs choses aujourd’hui : d’abord que les relations au travail existent et qu’elles sont vécues par les salariés aussi par le biais de leurs émotions et le filtre de leurs valeurs. Ensuite qu’il y a une corrélation très forte entre le ressenti subjectif au travail et ses conséquences très objectives sur la santé des travailleurs. De bonnes raisons donc d’échanger des ressentis positifs comme négatifs pour rétablir un lien, dialoguer et tenter d’objectiver une situation

Dans ce cas pas de médiation, mais le médiateur vous proposera de mener avec vous un entretien individuel qui pourra peut-être au moins vous permettre d’avancer.

Vous avez tout essayé en fonction du registre d’interventions qui vous est ou vous semble possible dans le cadre professionnel et qui donne sens à vos yeux par rapport à vos principes et valeurs. Le médiateur met en place un cadre « hors norme ». Grâce à sa posture INIC –impartiale, neutre, indépendante et dans le respect de la confidentialité, il agrandit le cercle du possible. La seule chose dont il a besoin c’est de votre confiance.